J’ai décidé de poursuivre BHL !
Tout
en sachant que la bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe, j’ai décidé
de rentrer dans le lard de BHL, notre philosophe milliardaire aux chemises
amidonnées, car j’en ai marre de me laisser sans cesse insulter par cet
individu, qui continue, envers et contre tous, à me traiter, partout où il
sévit, de raciste et d’antisémite.
J’ai
longtemps laissé pisser et m’amusais plutôt de son obsessionnelle
« sinéphobie » mais, à l’hosto, j’ai pris un coup de sang,
probablement dû à mes nombreuses transfusions, et j’ai demandé à mon avocat de
poursuivre ce venimeux pour injure et diffamation bien que la procédure coûte
la peau des fesses.
Dans
cette société, il faut être riche pour ne pas se laisser cracher dessus !
D’ailleurs,
à ce sujet, une anecdote qui vaut son pesant de cacahouètes : après
avoir demandé un droit de réponse au journal Le Point dans lequel le rigolo
s’était, une fois de plus, répandu sur mon compte, on pouvait relire
gratuitement ses insultes (raciste et antisémite) sur leur site, mais pour
prendre connaissance de leur mise au point, il fallait payer pour lire la
suite de l’article !
Peut-être
avez-vous du mal à y croire, mais je vous jure que c’est vrai ! Il
est question de rétablir le service militaire pour les djeuns.
Je
suis assez pour, sachant que l’année 1949 passée « sous les
drapeaux », comme on dit, m’a été très bénéfique. J’y ai appris à
haïr, à détester, à avoir des idées de meurtres, qui m’ont bien aidé et qui
m’aident encore aujourd’hui dans mon boulot.
Car
il n’y avait pas que les sous-officiers de carrière, barjos aux crânes rasés,
méchants comme des teignes et sales comme des peignes, qui nous humiliaient dès
5 heures du mat (réveil au clairon) jusqu’à 22 heures (extinction des feux), il
y avait aussi de braves pèquenots analphabètes, arrivés
« bleubite » comme nous tous, mais qui, avec leurs galons gagnés
grâce à leur lèchecuterie, se conduisaient comme des enculés de kapos !
J’ai
appris, au cours de cette année d’enfer, à mentir, à ne me respecter ni moi ni
les autres, à ne plus me laver.
Le
clairon sonne à 5 heures et on doit être dans la cour, en uniforme impeccable
et au à garde-à-vous, à six heures, après avoir bu son caoua tiède et putride,
fait sa toilette à l’eau froide, chié en vitesse dans un trou immonde et s’être
lavé dans un endroit crasseux comme on en propose aux sans-abris !
Difficile
d’avoir le cul propre et de ne pas sentir le bouc dans ces
conditions ! La seule chose vraiment utile aurait été d’apprendre à
manier les armes dans l’espoir, un jour, de flinguer tout ce petit monde
dégueulasse, malheureusement, à mon époque, on faisait l’exercice avec des fusils
rouillés datant de la guerre 14-18 !
Comme
apprentissage du meurtre, on fait mieux ! N’oubliez jamais ça :
l’armée est l’école du crime !
Banzaï !
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