En ce qui me concerne, ne jouant jamais au loto, je suis relativement à l'abri de ce genre de problèmes.
Inès de la Fressange connaît de nouveaux soucis avec sa maison de Tarascon. Le Canard enchaîné révèle que la domestique qui y travaillait l'attaque aux Prud'hommes pour travail dissimulé et licenciement abusif. Les ennuis continuent pour Inès de la Fressange et son compagnon Denis Olivennes. Après avoir été condamnés en août dernier par la Cour d'appel d'Aix-en-Provence à détruire l'annexe de leur maison deTarascon, construite sans permis dans un espace protégé, c'est maintenant aux Prud'hommes qu'ils doivent rendre des comptes.
Selon le Canard enchaîné, Chantal Moreau, 55 ans, "femme à tout faire du domaine depuis mai 2013", a porté plainte contre ses employeurs, qui l'ont limogée en septembre. Celle qui "veille sur le mas, sa piscine et son parc de 9 hectares, va chercher les parents, les enfants, les amis à la gare d'Avignon pendant les vacances et les week-ends, fait le ménage dans la baraque de 280 mètres carrés, les courses au supermarché, la popote pour les VIP" réclame justice. Rémunérée "1560 euros par mois, sur lesquels elle reverse 350 euros pour... le loyer de son mobile home" installé au fond de la propriété, elle "parle de travail dissimulé, de licenciement abusif".
Après lui avoir versé près de 5000 euros de rappel de salaire, Inès de la Fressange et Denis Olivennes ont fait appel. Le licenciement sera examiné en mars 2016.
(L'Express)
(L'Express)