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vendredi 28 novembre 2014
La Gervanne
La Gervanne est une rivière qui prend sa source dans la vallée d'Omblèze et qui se jette dans la Drôme.
L'été, c'est un petit ruisseau qui se traverse à gué.
Mais mercredi, pour monter au Bec Pointu, pas question de traverser la Gervanne à gué, les dernières fortes précipitations l'ont transformée en un torrent tumultueux.
L'unique solution était la poutre métallique de 22 cm de large.
mardi 25 novembre 2014
Les restos du malheur
A lire sur BELLACIAO le post de René LEBRIS et les commentaires.
« Quand je donne à manger aux pauvres, on m’appelle un saint. Quand je demande pourquoi ils sont pauvres, on m’appelle communiste »
DON HELDER CAMARA, évèque de RECIF
« Quand je donne à manger aux pauvres, on m’appelle un saint. Quand je demande pourquoi ils sont pauvres, on m’appelle communiste »
DON HELDER CAMARA, évèque de RECIF
dimanche 16 novembre 2014
BHL philosophe de mes deux...
Pierre DESPROGES était il un visionnaire ?
En tous cas pour BHL il avait vu juste, l'histoire nous le prouve tous les jours.
mercredi 12 novembre 2014
Que maudite soit la guerre
Ne plus se retrancher derrière la
légende.
Gloire à nos glorieux
poilus, héros malgré eux d'une affreuse boucherie, d'une
barbarie absurde et inhumaine. Les roulements de tambour, les discours martiaux
ou lyriques vont nous faire croire, l'espace d'un centenaire qui ne va pas
finir, qu'il y avait de la noblesse et de la beauté dans ce charnier. Une fois
encore, les drames individuels, la souffrance des hommes au front, le désespoir
des femmes et des enfants à l'arrière, passeront au second plan derrière la
rigueur martiale.
J'entends
encore malgré moi Monsieur Antoine Prost, responsable des commémorations du
centenaire, se rengorger en déclarant de manière bien péremptoire :
« On a gagné la guerre … ! » Version des plus discutables et
usage totalement déplacé de ce « On » qui ne nous appartient pas.
La seule
certitude dans ce carnage des carnages, c'est qu'ils furent nombreux à avoir
perdu la vie ou la raison, la santé et l' intégrité physique, leur jeunesse et
leurs espoirs, leurs nuits et leurs rêves. Ceux qui en sont revenus vécurent
des cauchemars sans nom mais gardèrent par leur silence, les images effroyables
qui hantèrent leurs nuits.
Non,
messieurs les politiques, toujours prompts à exploiter la fibre nationale, à
magnifier les exploits et à vendre l'invendable, cette guerre ne fut pas
grande. Jamais l'humanité ne s'était vautrée dans autant de bassesse et de
boue, de peur et de merde, de sang et de folie. Il faut appeler un chat un
chat, messieurs les enjoliveurs de l'effroi : cette guerre est une
parfaite abjection et lorsque l'armistice résonna, l'ennemi était encore sur le
territoire français : la belle victoire que voilà !
La grande
victoire qu'une paysannerie décimée. Les campagnes françaises sacrifiées, ces
enfants envoyés à la mort pour le plaisir et la gloire de quelques généraux
dont certains hériteraient du grade de maréchaux sur des torrents de sang et de
larmes. Les bouseux envoyés dans les tranchées, terrés comme de bêtes,
suivirent docilement , nous dit-on, des instituteurs programmés pour la
revanche de 1870.
C'est
insupportable de bêtise et de d'horreur ! Jamais je ne passe dans un petit
village sans aller lire la longue et interminable liste des sacrifiés. Des
familles détruites, des vies fauchées pour un combat absurde qui dépassaient
ces pauvres gars saoulés de vin et d'alcool au moment du sacrifice suprême.
Comment
ne se sont-ils pas révoltés davantage ? Comment ont-ils accepté leur fin
si certaine ? Ce sont là les vraies questions que les cérémonies ne
poseront jamais. Si ce centenaire était enfin l'occasion de réhabiliter les
courageux, les rebelles, les visionnaires qui avaient décidé de s'opposer à ce
massacre, il ne serait pas, pour une fois, vain. La seule grandeur qui soit est de déclarer son refus de la Guerre, de cesser de
parader avec le drapeau en tête et cette Marseillaise si belliqueuse qu'elle
m'en donne la nausée. Comment être une nation prétendument civilisée avec un
hymne national aussi primaire, aussi sanguinaire ? La grandeur une fois
encore serait d'en changer les paroles pour enfin devenir vraiment la patrie
des droits de l'homme et du citoyen.
Les
défilés iront dans un tout autre sens. La gloire posthume des sacrifiés est un
bien piètre réconfort. Il n'y eut aucune grandeur dans cette guerre mais
simplement des hommes qui se sont conduits admirablement pour sauver un
camarade, pour porter secours à un blessé, pour porter le ravitaillement sous
un feu imbécile et imprécis.
La
grandeur était dans ces hommes et non dans une armée dépassée, monstrueuse,
délirante et c'est encore cette armée qui va, sabre au clair et au pas cadencé,
célébrer la plus abjecte séquence de notre histoire. C'est à vomir !
Gloire aux sacrifiés et mort à toute Guerre !
Pacifiquement
leur.
NABUM AGORAVOX
mardi 4 novembre 2014
Bourvil-Le petit bal perdu.
Pour Yvette, Marie-Andrée, Jacqueline, Catherine, Marie-Renée (la petite nouvelle)
Maurice, Alain et celles et ceux qui, peut être, vont bientôt s'y mettre...à la chanson !
Rando MJC, niveau 3 et plus...
Le tour du Gerbier, proposé par Gilbert.
Nous partons des Clots pour monter au Col Vert en passant par la cabane de Roybon. Puis une descente sur le sentier du balcon Est qui nous mène à la cabane des Clots. Et nous montons au pas de l'Oeille avant de redescendre coté Ouest et revenir par le vallon des Fauges.
Une randonnée de 17.500 km et 1175 m de D +.
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