Nul pays n'est plus à même
que les États-Unis de condamner les souffrances abominables infligées à des
populations civiles innocentes, et d'envisager d'en punir les auteurs.
Sans évoquer la destruction
atomique par les Japonais de deux grandes villes américaines, en 1945, comment
ne pas rappeler le long calvaire infligé à la population américaine par les
bombardiers vietnamiens qui, sous un prétexte fallacieux (la présumée attaque
d'un navire vietnamien), ont des années durant largué leurs vagues de napalm et
de bombes à fragmentation.
Et, comble de l'horreur, ce
sont ces mêmes bombardiers vietnamiens qui n'ont pas hésité à déverser l'agent
orange à la dioxine sur les forêts américaines, crime insensé dont des milliers
de pauvres nouveaux-nés malformés ont continué longtemps après à être les
victimes.
On se souvient enfin
comment le gouvernement irakien, après avoir rendu responsable le gouvernement
américain, qui n'y était pour rien, de la destruction abominable de deux tours
de Bagadad, affirma ensuite, (sous la foi fallacieuse d'une éprouvette
brandie devant l'assemblée de l'ONU), que les USA détenaient des armes de
destruction massive. Et en conséquence n'a pas hésité à porter le
fer et le feu sur le sol américain, au prix de centaines de milliers de
victimes civiles...
Un texte de René MERLE, instructif, non ?
1 commentaire:
Merci d'avoir répercuté ce billet sur nos gentils protecteurs américains !
Et bonne continuation de randonnées... La retraite a du bon, tant qu'on a la forme.
Amicalement,
rené merle
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