L’infâme boucherie de lardons dans la province la plus huppée des
États-Unis, le Connecticut, prouve, une fois de plus, que cette nation
qui n’était encore, il y a peu, peuplée que de cow-boys et de
Peaux-rouges est restée une contrée de bouseux attardés et souvent
consanguins.
Les gardiens de vaches (traduction de “cow-boys“ en français) après
avoir exterminé tous les Indiens, n’ont pas su profiter de
l’intelligence et de la sensibilité, nettement supérieures aux leurs,
des esclaves qu’ils importaient d’Afrique, mais les ont asservis et
humiliés.
Résultat des courses : un lobby, la NRA (National Rifle Association)
tout-puissant, dirigé un moment par l’abruti de Charlton Heston, fait la
pluie et le mauvais temps dans cet immense pays d’attardés et vend des
armes et des munitions à des analphabètes irresponsables, et croyants de
surcroît, qui n’ont qu’une envie : les essayer afin de voir si elles
sont aussi efficaces que le marchand de mort le leur a assuré !
Une petite histoire que j’aime beaucoup concernant les relations
entre les esclaves et leurs maîtres sudistes : dans une plantation où
tous les captifs ont décidé de se révolter et de s’enfuir pour retrouver
d’autres fugitifs, deux Blacks bien résolus à se faire la malle avec
leurs potes, discutent :
« Ça m’embête de devoir trucider mon maître, il est assez sympa avec moi et ne m’a jamais traité comme une merde… »
« Le mien non plus … »
« J’te propose un truc, je vais égorger le tien et tu crèves le mien ! »
« Le mien non plus … »
« J’te propose un truc, je vais égorger le tien et tu crèves le mien ! »
Cette histoire aurait beaucoup plu, j’en suis sûr, à Malcolm X !
Sur ce, je vous lâche la grappe et vous souhaite une bonne continuation !
“Keep swingin’ !
Tiré de la zone de SINE du 16 décembre 2012
Tiré de la zone de SINE du 16 décembre 2012
1 commentaire:
Acceptons qu’il y a trop de fusilles dans les mains de tout le monde et n’importe qui. Il est aussi vrai que je suis entouré de voisins et membres de la famille qui diront que la solution aux armes dans les mains d’un malade mental est plus d’armes dans les mains de tous les autres.
Autrement l’analyse est assez enfantine.
Brother-in-law-01
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