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jeudi 9 octobre 2014

Comment éradiquer « tout simplement » le terrorisme

Alors que nos dictateurs en herbe fourbissent leurs armes pour faire de chaque citoyen un terroriste potentiel, il apparaît qu’il existe un moyen très simple de faire cesser le terrorisme dans sa globalité, et auquel malheureusement personne ne semble vouloir recourir, ou même se souvenir : il suffirait d’ouvrir les comptes qui se trouvent dans les chambres de compensation comme Clearstream et le tour est joué. Car alors nous aurions en notre possession tous les éléments pour à la fois faire cesser le financement des terroristes « en un seul clic » et ainsi de juger des responsabilités de chacun dans ce financement.
Nous saurions alors d’où vient l’argent, et où il va.
Incroyablement simple, mais impossible à faire. Pourquoi ? C’est là que tout se complique : comme l’avait justement deviné et prouvé Denis Robert, Clearstream et les autres chambres de compensation internationales sont le centre névralgique de toute la corruption mondialisée : les prostituées, la drogue, les armes, les « dessous-de-table », etc… tout y est !
Mais alors pourquoi, dirons les naïfs, n’ouvre-t-on pas ces comptes ?
Mais c’est que tout y est on vous dit ! Si l’on ouvrait au public le contenu des fichiers informatiques présents dans ces chambres de compensation, tout s’effondrerait d’un seul coup : non seulement le terrorisme, mais aussi tous ceux qui financent le terrorisme, tous ceux qui trichent, mentent et volent seraient alors confondus par leurs mensonges. C’est-à-dire la plupart de nos hommes politiques, les plus grandes fortunes de la planète, et tout ce que la terre porte de gens malhonnêtes.
Si les lignes de comptes des chambres de compensation étaient ouvertes, on verrait apparaître en pleine lumière toutes les causes de la misère et de la souffrance des peuples, ainsi que tous les liens qui unissent cette misère et cette souffrance à la malhonnêteté de ceux qui en profitent. Nous y trouverions à la fois l’argent des évadés fiscaux (les 600 milliards qui manquent à la France) et celui des trafics de drogue, celui de la corruption des hommes politiques et celle de leurs « clients » ou « donneurs d’ordres ».
Ne seriez-vous pas intéressés de savoir que les armes utilisées par les djihadistes sont celles fabriquées et vendues par ceux-là même qui les combattent aujourd’hui ?
Ne voudriez-vous pas connaître le montant des rançons payées par la France aux terroristes, et le nom des bénéficiaires de ces rançons ? Ne seriez-vous pas étonné d’apprendre qu’une grande partie du financement des terroristes provient justement de ces rançons ?
Ou encore d’être au courant du nombre de multinationales (et de leurs noms) qui achètent du pétrole à ces mêmes groupes terroristes ? et à qui appartiennent les armées privées qui combattent sur les champs de bataille, et qui paye la solde des mercenaires engagés (il ne faut pas croire que ces gens-là se battent pour des idées !) ?
Les terroristes ont été créés par ceux qui les combattent, et tout y est aisément consultable dans les ordinateurs des chambres de compensation : en y cherchant bien on verrait comment les multinationales arment et forment, et financent leurs futurs ennemis avant d’envoyer ou de soutenir des groupes « contestataires » (payés, car eux non plus ne se battent pas pour des idées) pour embraser le pays, afin de justifier une intervention qui permettra de s’accaparer les ressources et de reconstruire les pays mis à feu et à sang par la guerre. En économie, on appelle cela du « gagnant/gagnant ».
Qu’on ne me refasse pas le coup du « on n’arrive pas à les maîtriser », ou « ils vont nous envahir » : ils ne sont pas plus de 50 000 hommes dit-on, et ne disposent à ma connaissance ni de grands moyens d’informations, ni de navires de guerre, ni de satellites, ni d’avions de chasse… Et ils seraient susceptibles de tenir en échec toutes les armées du monde ? Non, si les terroristes existent encore, c’est qu’ils sont utiles à certains ; et il suffirait qu’on aille voir là où l’information se trouve pour que l’on sache à qui ; et que celui qui conteste ce fait vienne me le prouver ! Les peuples se débarrasseraient alors à la fois du fléau du terrorisme, et de leurs dirigeants corrompus : c’est cela, moi, que j’appelle du « gagnant/gagnant ».

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