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lundi 30 novembre 2015

Première neige



Première neige et première sortie raquettes. Nous partons à quatre de l'Echaillon sur la route du Col de la Bataille. Pas vraiment beau pour cette randonnée, du vent, du brouillard et une chute de neige qui nous oblige à écourter le trajet. Mais il en faut plus  pour nous décourager : on remet ça mercredi au départ de Corrençon .  

mercredi 25 novembre 2015

Télévision

Frédi Meignan

Je n'ai pas souvent l'occasion de faire un article sur une émission de télé, je fais une exception pour l'émission d'hier soir parut sur France 2 : "Le Signal, les sentinelles du climat". Une soirée très intéressante sur le changement climatique avec des témoignages très forts. Parmi ceux ci, celui de Frédi Meignan, le gardien du refuge du Promontoire que nous avions rencontré lors de notre randonnée du 22 juillet 2014, Gilbert, Daniel, Robert et moi. Un vrai montagnard, passionné amoureux de ses cimes et surtout très lucide. Des souvenirs et une rencontre inoubliables.

A voir en replay ou la rediffusion le 3 décembre à 0 h 46 sur France 2.
A voir aussi l'article du 25 juillet 2014 parut sur le blog du Vieux Rouge.

dimanche 22 novembre 2015

Les randos "3+" de la MJC : les calanques

le groupe au sommet de Marseille-Veyre


Deux jours de randonnée très sportive proposés par Gilbert dans le massif de Marseille-Veyre. 
Avec des passages très aériens : le Rocher des Goudes, le col de la Demi Lune, les Pas de la Mounine et les escaliers des Géants. 
Un grand MERCI à Gilbert qui retrouvait là le terrain de jeu de sa jeunesse.
Et un grand BRAVO aux quatre filles (Même pas peur!!!) qui n'ont pas hésité à se lancer dans cette aventure.

Un peu d'humour...

...ça peut pas faire de mal en cette période de merde !

vendredi 20 novembre 2015

Ecran noir : Claude Nougaro - Lettre ouverte de Julos Beaucarne "s'aimer...



Amis bien aimés,

Ma loulou est partie pour le pays de l'envers du décor. Un homme lui a donné neuf coups de poignards dans sa peau douce. C'est la société qui est malade. Il nous faut la remettre d'aplomb et d'équerre, par l'amour, et l'amitié, et la persuasion.

Sans vous commander, je vous demande d'aimer plus que jamais ceux qui vous sont proches. Le monde est une triste boutique, les cœurs purs doivent se mettre ensemble pour l'embellir, il faut reboiser l'âme humaine. Je resterai sur le pont, je resterai un jardinier, je cultiverai mes plantes de langage. A travers mes dires, vous retrouverez ma bien-aimée ; il n'est de vrai que l'amitié et l'amour. Je suis maintenant très loin au fond du panier des tristesses. On doit manger chacun, dit-on, un sac de charbon pour aller en paradis. Ah ! Comme j'aimerais qu'il y ait un paradis, comme ce serait doux les retrouvailles.

En attendant, à vous autres, mes amis de l'ici-bas, face à ce qui m'arrive, je prends la liberté, moi qui ne suis qu'un histrion, qu'un batteur de planches, qu'un comédien qui fait du rêve avec du vent, je prends la liberté de vous écrire pour vous dire ce à quoi je pense aujourd'hui : Je pense de toutes mes forces qu'il faut s'aimer à tort et à travers.

jeudi 19 novembre 2015

SINE : "Nos lendemains finiraient par chanter moins faux"


Depuis mes débuts, en 1952, j’ai toujours conchié, dans mes dessins, le nationalisme et le chauvinisme.
Que ce soit le God Save the Queen, le Star-Spangled Banner, la Brabançonne, le Canto degli Italiani, le Lied des Deutschen, la Marcha Real ou le Yiyòngjùn Jinxingqù, tous ces hymnes sont profondément cocardiers et ressassent de vieilles rancœurs contribuant ainsi à nous diviser arbitrairement !
Tous les pays du monde, 156 pour les seuls membres des Nations unies, clament le leur en ignorant celui des autres.
Une gabegie de conneries !
Il est tout à fait normal d’être traumatisé par les carnages inouïs auxquels on vient d’assister, impuissants et terrorisés et de vouloir extérioriser sa colère et son dégoût, mais ce n’est pas une raison, à mon avis, pour entonner la Marseillaise à tue-tête et à tout bout de champ en brandissant, de surcroît, le drapeau tricolore français sans même probablement savoir que le blanc du milieu est un hommage à la monarchie.
Est-ce que les braves gens qui braillent ces jours-ci un peu partout, en France et ailleurs, cette scie patriotique savent qu’elle est le chant de prédilection des parachutistes français qui la beuglaient pour fêter leurs crimes de guerre en Indochine et en Algérie et des tueurs français de l’OAS qui la hurlaient en dessoudant, à coups d’armes automatiques eux aussi, les militants algériens et les Français qui les aidaient.
Si tous les gens de bonne volonté, dans le monde entier entonnaient en chœur, l’hymne humaniste d’Eugène Pottier, l’Internationale, plutôt que celui, sanguinaire et revanchard, de Rouget de Lisle, nos lendemains finiraient peut-être par chanter moins faux !
Banzaï !

mardi 17 novembre 2015

René MERLE : "Après le carnage"

Sidération et horreur, immense tristesse pour ces victimes frappées dans la convivialité d’une soirée festive, admiration devant cette « common decency », cette « honnêteté ordinaire » populaire qui fait, comme l’a si bien pointé Orwell, que « l’homme ordinaire » n'a pas besoin de se tourner vers l’Autorité pour agir moralement : courage des forces de sécurité, professionnaliste des services médicaux où ont afflué les volontaires, accueil spontané des victimes, afflux encore des donneurs de sang, etc. etc.
La guerre ne se vit pas qu’à la télé, et le monstre de Frankenstein créé et entretenu depuis des années par l’interventionnisme occidental, échappant à ses maîtres, est venu nous le rappeler, en abattant sur Paris l’horreur qui s’abat ailleurs depuis des années.
D’aucuns s’en tiennent à nous répéter : « À qui la faute ? », et à vilipender nos « chefs de guerre » ubuesques qui se sont employés à déstabiliser la Lybie et la Syrie, à l’image de leur maître à penser déstabilisant l’Irak ?
A contrario, que peuvent peser devant cela les incantations pacifistes, nous adjurant de prendre le chemin d’espoir d’une vraie politique de paix, éradicatrice de cette monstruosité ? La paix, oui, mais comment y parvenir quand nous sommes en guerre ?
Pour ne rien dire des adjurations à ne pas faire d’amalgames, alors que, à l’évidence, chacun connaît le terreau sociologique où les fanatiques recrutent en priorité, et que, partant, chacun voit que ce sont d’autres fanatiques qui vont ramasser la mise.
Personne n’a de solutions clés en mains. Pour l’heure, ce que beaucoup de Français ont ressenti est ce besoin d’être ensemble, de se rassembler et de montrer leur détermination à ne pas céder à la barbarie. Pour autant, chacun sent bien que nous avons migré dans une zone de chaos où les guides proclamés ne nous apparaissent pas des plus assurés, alors que notre Constitution, en l’occurrence, leur attribue les pleins pouvoirs.
L’avenir est bien sombre, décidément.

samedi 14 novembre 2015

Charles HOAREAU : Ils osent...



Ils osent à Air France où tombent 4 licenciements pour faute lourde ce qui veut dire sans aucune indemnité, même pas les congés payés restant dus, une procédure contre un délégué avec pour intention évidente d’arriver au même résultat, 14 mises à pied sans salaire contre des salariés (dont deux pilotes) et cela sans même attendre le jugement du 2 décembre en correctionnelle ! Merci le gouvernement « socialiste » actionnaire d’Air France et ces directeurs payés 30 000€ par mois qui ont comme bilan 15 000 suppressions d’emplois déjà effectués, qui veulent en programmer 8000 autres et qui n’ont pas été capables de commander un avion alors que toutes les compagnies du monde le font pour répondre à l’explosion de la demande mondiale ! Ils osent à Derichebourg où 4 grévistes viennent de recevoir leur lettre de licenciement pour des motifs qui feraient rire s’il ne s’agissait pas d’enlever le pain de la bouche à des mères de famille. Licenciées parce que grévistes, ce qu’en principe la loi interdit sauf que pour la faire respecter dans notre « démocratie » il faut de longues semaines de procédure… Ils osent à Casino où 9 grévistes se sont révoltées contre la suppression de 4 postes, revendication ô combien légitime que le tout puissant Casino traite par le mépris espérant le pourrissement du conflit et l’amertume démobilisatrice qui en résulterait pour des salariés vaincus et à bout de souffle. Ils osent parce qu’ils se croient forts dans un monde au capitalisme sans limites depuis « la fin de l’histoire » comme ils nomment la chute du mur de Berlin. Ils osent parce qu’ils nous croient à terre, affaiblis, incapables de réaction, résignés. Ils osent parce qu’ils veulent faire taire celles et ceux qui relèvent la tête et qu’ils estiment trop rares pour devoir leur répondre. Ils osent parce qu’ils veulent croire à tous prix au mot de Warren Buffet et espèrent qu’ils « gagnent tous les jours » la lutte des classes. Mais ils osent aussi parce qu’ils ont peur qu’une chemise en lambeaux soit le signe avant-coureur de colères bien plus fortes, comme les peuples, de Robespierre à Sankara, leur ont montré être capables. Ils ont peur parce qu’ils craignent l’explosion des « sans-dents », sans culottes d’aujourd’hui. Ils ont peur parce qu’ils savent leur modèle de société indéfendable est « historiquement condamné » comme disait un certain Karl Marx. Ils ont peur parce qu’ils savent qu’ils ne nous feront pas taire, qu’aucun peuple, si petit soit-il, du Viet Nam à la Palestine, n’a durablement perdu face à un adversaire, si puissant se croit-il, et a fini par vaincre. Ils ont peur parce qu’ils savent qu’on n’a pas perdu quand l’adversaire proclame la victoire mais quand on reconnait la défaite. Tant qu’il y aura quelque part dans le monde une seule résistance si ténue soit-elle le capitalisme n’aura pas gagné. Ne vous y trompez pas c’est un appel au combat. Nous bloquerons s’il le faut les avions, les usines, les entrepôts, les richesses qu’ils nous ont prises. D’Air France à Derichebourg nous réintègrerons nos camarades.   Hasta la victoria sempre !

mercredi 11 novembre 2015

La chanson de Prévert





Une chanson que nous allons reprendre lundi...Peut être pas cette version.Et pourtant cette version me plait pas mal !

mardi 10 novembre 2015

Coup de blues...


...en retrouvant cette photo prise à la chapelle St Médard. C'était au printemps 2009, on y voit André, une bouteille de Clairette à la main, pour arroser ses 80 printemps. Parmi les amis présents à cette rando, il y avait Monique et Alain, Marie-Claire, Charlotte et Maurice, Paulette et Jullien, Yvette et Bernard, Jacqueline et Alain, André, bien sur, Marie-Thé et moi.
Il reste les photos et les souvenirs.... 

Vérification des semelles avant départ

lundi 9 novembre 2015

La Chapelle Saint Médard

Ces photos de Chantal pour donner envie à nos randonneurs de venir jeudi à cette sortie.
le château de PIEGROS

La foret de saou

Les trois Becs

Le rocher de la Cresta

Saint Médard