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mardi 20 décembre 2016

Namibie de Etosha à la fin



L'intégralité de notre aventure africaine grâce aux vidéos de Chantal et Michel. Merci à eux et merci à tous les participants à ce très beau voyage sans oublier nos accompagnateurs.

mardi 6 décembre 2016

L'aventure africaine

Trois semaines de dépaysement total, un séjour en Namibie avec une petite incursion au Botswana et une conclusion spectaculaire aux Victoria Falls. Du désert de Namib à la côte atlantique, des peintures rupestres au village Imba, sans oublier le delta de l’Okavango ni les parcs de Chobé er Etosha. Nous étions 14, plus un guide, un chauffeur et un cuisinier pour ce voyage préparé par « Nomades/Aventures ». Nomades, nous l’étions car presque chaque soir, nous montions nos tentes dans une région différente et aventure car ce périple était aussi agrémenté de plusieurs incidents mécaniques et de rencontres avec quelques animaux pas toujours prévues.













vendredi 11 novembre 2016

Leonard Cohen - The Partisan



C'est avec cette chanson que j'ai découvert Léonard COHEN, c'était en 68, on écoutait le hit parade des MJC  sur France Inter avec un inconnu qui s'appelait Gérard Klein. Salut l'artiste !!!

mardi 25 octobre 2016

le "Bulli"



L'édition 2016 de notre traditionnel et incontournable "bulli" (pot au feu) fut, cette année encore un véritable succès. C'est 150 repas qui furent mitonnés et servis dans la joie et la bonne humeur par les Amis du Vieux Tilleul. 

samedi 1 octobre 2016

Eric Frasiak - Monsieur Boulot



Un grand MERCI à Blandine et Bernard pour nous avoir fait découvrir cet artiste de grand talent.

mercredi 21 septembre 2016

Barcelone

Avec Jacqueline , Jo, Nicole, Geneviève et Jean -Marc nous avons fait un séjour très agréable en Catalogne. Barcelone, Monserrat , Figueras, Cadaquès et le cap de Créus.





Norah Jones - Carry On

dimanche 14 août 2016

L'Aiguille du Goléon

Notre dernière ascension, glacier et rocher, avec les deux Gilbert : l'Aiguille du Goléon dans le massif de l'Oisans. Une sortie moins physique que le dôme de l'Arpont, mais plus technique, avec une arête très aérienne.






mardi 19 juillet 2016

La grande Tête de l'Obiou







Lundi, avec mon ami Gilbert, nous avons fait l'ascension de la grande Tête de l'Obiou. Un sommet un peu mythique du Dévoluy : des paysages à couper le souffle, des passages très aériens et exposés et le petit plus : l'exploration de la grotte située sous le petit Obiou et son surprenant mur de glace.

mercredi 6 juillet 2016

A Marie-Thé



Un an… C’est long et c’est court, un an.
C’est le temps qu’il faut pour que la blessure commence à se refermer, mais la cicatrice elle, elle restera.
C’est des journées où l’on s’étourdit, ou l’on se disperse par des occupations que l’on jugeait futiles avant, tout ça pour ne pas penser.
C’est des rencontres avec des gens sincères ou pas, dans des soirées que l’on fait durer parce qu’elle n’est plus là, à vos côtés.
C’est la maison et le lit devenus subitement trop grands.
C’est les repas en tête à tête avec un poste de radio.

Mais c’est aussi les filles, les petites filles qui vous poussent à continuer pour que le souvenir de l’absente perdure.
C’est quelques membres de la famille qui vous soutiennent quoi qu’il arrive.
C’est des amis, les fidèles, ceux qui sont passés entre les mailles du filet de l’indifférence.
C’est aussi de se retourner, de faire le bilan de ce que l’on a vécu ensemble et de se souvenir des belles choses.
C’est la bataille pour la vie qui faut bien mener, même si, on n’est pas sûr de la gagner
Et c’est un peu les paroles du grand Léo :
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va
On oublie le visage et l'on oublie la voix
Le cœur, quand ça bat plus, c'est pas la peine d'aller
Chercher plus loin, faut laisser faire et c'est très bien
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va
L'autre qu'on adorait, qu'on cherchait sous la pluie
L'autre qu'on devinait au détour d'un regard
Entre les mots, entre les lignes et sous le fard
D'un serment maquillé qui s'en va faire sa nuit
Avec le temps tout s'évanouit
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va
Même les plus chouettes souvenirs ça t'as une de ces gueules
A la Galerie je farfouille dans les rayons de la mort
Le samedi soir quand la tendresse s'en va tout seule
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va
L'autre à qui l'on croyait pour un rhume, pour un rien
L'autre à qui l'on donnait du vent et des bijoux
Pour qui l'on eût vendu son âme pour quelques sous
Devant quoi l'on se traînait comme traînent les chiens
Avec le temps, va, tout va bien
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va
On oublie les passions et l'on oublie les voix
Qui vous disaient tout bas les mots des pauvres gens
Ne rentre pas trop tard, surtout ne prends pas froid
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va
Et l'on se sent blanchi comme un cheval fourbu
Et l'on se sent glacé dans un lit de hasard
Et l'on se sent tout seul peut-être mais peinard
Et l'on se sent floué par les années perdues
Alors vraiment
Avec le temps on n'aime plus.


Aujourd’hui, je n’irai pas au cimetière car pour moi, tu n’es pas sous cette dalle de granit, mais tu es dans ma tête et tu continues de vivre dans mes souvenirs.

samedi 2 juillet 2016

JOELLE



Très belle soirée, hier, sous le vieux tilleul, une centaine de spectateurs charmés par le talent , la sensibilité de JOELLE, auteur, compositeur, interprète.

ZAZ - "La lessive"



Comme une suite à l'article précédent .
 les paroles :

On gravit des sommets dans nos vies, dans nos coeurs,
Cet amour infini mélangé de douleur,
Le partage et l’instant du bonheur,
Qu’on garde ancré en soi comme pour lui rendre honneur.

Je gravis la montagne, comme je gravis ma vie,
Tous ces regards croisés, si je les ai compris,
J’ai pourtant vu mille fois, et suis encore surprise
De la beauté des êtres qui m’ont fait lâcher prise.

C’est la beauté sans mot qui transforme un instant,
A genoux dans la glace laissant faire ce qui doit,
Je garde en moi le chaud, la saveur du présent
De ces moments de grâce qui fut vous qui fut moi.

Ils vivent leur ascension, grimpent et bravent leur peur,
Il n’y a nulle prison que celle qu’on se crée au coeur,
Je prends note et leçon dans ses vives lueurs,
La lune, leurs regards, ne pas mourir avant l’heure.

Je garde précieusement l’expérience dans ma chair,
Revenir au quotidien lui non plus ordinaire,
Dans les pages d’un bouquin, ces phrases qui me décrivent,
Tout se termine et prend fin, après l’extase la lessive.


C’est la beauté sans mot qui transforme un instant,
A genoux dans la glace, laissant faire ce qui doit,
Je garde en moi le chaud, la saveur du présent,
De ces moments de grâce qui fut vous qui fut moi.

Encordée dans ma tête jusqu’à mon sac-à-dos,
Des petites tempêtes me poussent vers le haut,
Le froid que je respire, je sens que je m’allège,
Je n’ai rien vu venir les deux pieds dans la neige.

Depuis c’est plus facile et un pas après l’autre,
Si je marche tranquille, si je suis quelqu’un d’autre,
J’aurai toute ma vie laissant faire ce qui doit,
De ce qu’on a gravi qui fut vous qui fut moi.

C’est la beauté sans mot qui transforme un instant,
A genoux dans la glace, laissant faire ce qui doit,
Je garde en moi le chaud, la saveur du présent
De ces moments de grâce qui fut vous qui fut moi.

C’est la beauté sans mot qui transforme un instant,
A genoux dans la glace laissant faire ce qui doit,
Je garde en moi le chaud, la saveur du présent
De ces moments de grâce qui fut vous qui fut moi.

Le Dôme de l'Arpont

Départ à 4 heures du matin

Lever du soleil

Au col de l'Arpont

Selfi au sommet



Ils ne sont encore pas trop talés, les vieux animateurs « RANDO » de la MJC.

Mardi, ils partaient de Termignon (1300m.) pour monter au refuge de l’Arpont (2300m.) soit 2h30 de montée. Et mercredi, départ à la frontale à 4 heures du matin pour arriver au dôme de l’Arpont (3600 m.) à 8h30 sur un glacier avec des pentes à plus de 40 %. Retour au refuge à 11h30, repas et sieste et redescente sur Termignon en 1h30. Très belle course en haute montagne !


MERCI LES GILBERT.

samedi 18 juin 2016

Lullaby of Birdland - ELECTRAVOICE - extrait



J'aime publier des posts après une bonne soirée, c'était le cas hier,
Les trois filles d'ELECTRAVOICE ont mis le feu à la Miellerie !

Le Mont Aiguille


Une superbe randonnée proposée par Gilbert : le tour du Mont Aiguille ou le  Mont Aiguille sous toutes ses faces.

vendredi 3 juin 2016

dimanche 29 mai 2016

Où en est la crise politique au Brésil

Un petit point sur la situation politique au Brésil.
Donc, le vice-président fait office de président en attendant que la Sénat décide si la présidente doit être définitivement destitué.
Le fait nouveau, c’est que les preuves du coup monté pour destituer Dilma Roussef s’accumulent avec la révélation d’une écoute téléphonique montrant que les artisans du « golpe » avaient prémédité leur coup avec notamment l’objectif de se protéger de la campagne anti-corruption qui était en cours. Mouillés dans les magouilles avec l’entreprise nationale Pétrobras, certains ont organisé la campagne contre la présidente pour éviter d’être pris dans les nasses de la campagne de lutte contre la corruption (un article de Marianne explique cela : Brésil : Dilma Rousseff a-t-elle été écartée pour protéger une élite corrompue ?). Du coup, le président par intérim a déjà été obligé de limoger le ministre concerné par l’écoute téléphonique.
Il semble bien que cela ne soit que le début. Des éléments tendent à montrer que plusieurs jugent sont mêlés au « complot » et le tribunal fédéral suprême n’est pas à l’abri non plus.
Et la rue ?
De fait, il n’y a plus de manifs de droite puisque l’objectif était la chute de la présidente. Mais on ne sait pas bien ce que pensent ceux qui n’étaient pas des forcenés de la droite et qui se retrouvent avec un gouvernement très libéral, machiste, à potentiel autoritaire et répressif…
A gauche et dans les mouvements sociaux, on aurait pu s’attendre à des manifestations monstres, mais ce n’est pas le cas. Un de mes collègues me disait l’autre jour que la destitution a affaibli la mobilisation.  Pourtant, on ne peut pas dire qu’il ne se passe rien, mais c’est moins visible que les grandes manifestations d’il y a 1 mois. Outre des mouvements comme le mouvement des sans-terres qui barrent régulièrement des route, on observe des occupations de bâtiments, de grèves dans les écoles et dans la culture qui mélangent des revendications « catégorielles » et l’opposition au gouvernement Temer. Les politiciens les plus corrompus et les plus mouillés dans le « golpe » sont harcelés dès qu’ils sortent en public, notamment le député qui a fait l’apologie d’un tortionnaire… Le « Frente Brasil Popular », qui regroupe 65 organisations afin de coordonner les actions, annonce des marches, des assemblées, des débats, etc., mais cela se passe dans chaque État sans synchronisation au niveau fédéral. Je ne sais pas si tout cela est peu visible et peu diffusé par les médias (c’est très probable), ou si les mouvements contre « o golpe » sont un peu en train de se chercher… En même temps, le gouvernement Temer a déjà reculé sur un ou deux points suite aux actions diverses, par exemple en rétablissant un ministère de la culture de plein droit (enfin c’est ce qu’il a annoncé) ou en tentant d’introduire des femmes dans le gouvernement (des secrétaires d’État, faut pas non plus déconner…), mais plusieurs femmes ont refusé.
C’est donc une grande incertitude qui domine et comme l’écoute téléphonique sera versé (sur décision de justice si j’ai bien compris) au dossier des sénateurs qui devront statuer sur le sort final de la présidente, l’incertitude est encore plus grande.

François Beranger - Département 26



Une chanson que nous avons évoquée avec mon ami Bernard en randonnée sous le col d'Espenel...

vendredi 6 mai 2016

Salut Bob !

Bob aimait la vie, le jazz, sa femme, Catherine, et Stéphane, sa fille, ses amis, le pinard – le bon –, les chats, sa maison chaleureuse, dans la banlieue de Paris, avec son jardin, son bar, et plein de bouteilles derrière le bar.

J'ai infiniment de reconnaissance pour lui. Je crois qu’il m’aimait bien. Moi, pareil même si on se voyait peu. J’aimais ses dessins, son courage, sa férocité. Sa voix. Sa liberté. Et je n’oublie pas que c’est celui qui m’a défendu le premier quand toute l’équipe de Charlie Hebdo ou presque me dézinguait.

Une orchestration totale et dégueulasse

Quand j’ai été attaqué par Philippe Val dans ses éditos truffés d’erreurs et de bile, il a été le seul à prendre ma défense et à expliquer pourquoi Val et Richard Malka, l’avocat du journal, étaient "deux beaux enfoirés". Cet épisode a été le début de sa mise au ban et de son combat contre Charlie. De la naissance de Siné hebdo.

Bob ne comprenait rien à Clearstream, à la finance, mais il savait que j’avais raison. Il avait compris que l’avocat de Clearstream était aussi l’avocat de Charlie Hebdo, et que c’était la principale raison des articles contre moi. Il y a eu un montage visant à me calomnier. Il y a eu aussi un montage contre lui pour le calomnier. C’est le seul à s’être élevé pour dire que ce n’était pas possible que ce journal continue à me salir.

Il l’a écrit dans sa chronique. Il m’a défendu avec courage face à cette assemblée de pleutres, qu’étaient les journalistes et dessinateurs de Charlie Hebdo. Et il a été renvoyé de ce journal pour cette raison. Ensuite, ils ont prétexté des déclarations à caractère antisémite concernant le fils de Nicolas Sarkozy. Mais ce n’était pas la raison première. Tout ça, on le sait aujourd’hui, c’était bidon. C’était une orchestration totale et dégueulasse montée par Val et ses amis.

Au moment des attentats, il a baissé les armes

Siné était un dur à cuire mais l’accusation d’antisémitisme était insupportable pour lui. Être traîné d’antisémite équivaut à être traité de "sale juif". Il s’est battu avec énergie contre ses accusations. Il a gagné devant les tribunaux. ça n’a pas empêché ses détracteurs de persévérer. Le dernier en date était BHL, contre qui Bob a porté plainte pour diffamation.

Il était effectivement fâché avec l’équipe de Charlie. Il avait été surtout affecté par la trahison de Charb, qu’il considérait comme une sorte de fils spirituel. Les attentats de janvier ont radouci sa colère. Il avait perdu des amis. Il était triste pour Charb. Il en parle avec émotion dans notre film. Il aimait beaucoup Tignous aussi. Cet événement tragique a été le moment de baisser les armes.

Cela me navre aujourd’hui que l’on parle d’antisémitisme au moment de sa mort dans les flashs infos. Cette polémique l’a suivie, lui a collé à la peau comme une sale rumeur. Il en était affecté. Bob était un athée pur souche. Il a passé sa vie à cracher sur toutes les religions.

Faire chier les cons, ad vitam aeternam

Aujourd'hui, je ressens beaucoup de tristesse et un peu de rage. Je l’avais imaginé increvable. Ce qui le maintenait en vie, c’était la connerie, l’injustice. Ça le foutait en rogne. Il était courageux. Il ouvrait des brèches.

Son refus des convenances et de l’ordre établi remontait à son enfance, à son père qui était anarchiste et antimilitariste. Puis à la guerre d’Algérie où il avait soutenu le FLN contre De Gaulle et l’OAS. Il a toujours été du côté des opprimés, à contre-courant, il a toujours été là. Avec force, il a toujours tenu des propos virulents contre les curés, l’armée, les policiers...

Je me souviens, à l’enterrement de Cavanna, il a eu cette phrase :

"Il parait que dans Paris, un bruit court selon lequel il existerait un pari entre Cavanna et moi, pour savoir qui de nous deux allait crever le premier. Si ça avait été moi, il serait triste aujourd’hui comme je le suis. Notre rêve eut été qu’on soit éternel tous les deux, pour continuer à faire chier ad vitam aeternam tous ceux qu’on détestait en commun."

Et ils sont nombreux. A nous, ses amis, de reprendre le flambeau. On a du travail.

La fin des haricots

Bob a affronté la mort crânement, avec courage. Il s’en est moqué. Il y a deux jours, il nous a écrit dans un mot nous annonçant sa prochaine opération, qu’il serrait les fesses : l’intervention qu’il allait subir, pour lui enlever de l’eau des poumons, était plus compliquée que d’habitude. Son ton était plus grave. Comme s’il voulait nous prévenir.

On avait l’habitude de ses foucades, on pensait qu’il était increvable. Qu’une fois de plus, il allait gagner la partie. Il avait fait de son combat contre les cancers une sorte de feuilleton. Et il gagnait tout le temps. Chaque fois, il avait cette énergie indomptable. Aujourd’hui, sa mort laisse pantois. On se sent un peu plus seul. À 87 ans, il avait la niaque d’un type de 20 ballais.

Il sentait sans doute que c’était la fin des haricots. Dans son dernier message, il était un peu vacillant, pour la première fois.

Bob était un "va-t-en-guerre" surtout face à la mort. Il arrive un moment où, quand on est tout près d’y passer, on prend peur. Pas lui. En tout cas, il ne le montrait pas. Il y avait sans doute de la douleur, de l’inquiétude, mais aussi, je pense, de la curiosité. Et de la lassitude.

Par la manière dont il écrivait et dessinait autour de la mort et la maladie, il nous donnait des leçons de courage. Je garde ça de lui, dans les derniers moments : ce courage avec lequel il affrontait les ténèbres et la connerie. Toujours. Jusqu’au bout.

 Denis ROBERT journaliste et écrivain.

mercredi 4 mai 2016

Les sentiers du vertige

Quelques photos de Christian sur des passages spectaculaires dans les gorges du Verdon.








vendredi 29 avril 2016

Les gorges du Verdon





DEUX SUPERBES RANDONNEES DANS LES GORGES DU VERDON, AVEC DES PASSAGES TRES AERIENS ET DES PENTES TRES RAIDES. UN HEBERGEMENT SYMPA, UNE BANDE DE BONS COPAINS, TOUT POUR FAIRE UNE BONNE SORTIE. MERCI GILBERT !