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samedi 27 février 2016

Merci patron ! Bande annonce inédite



Ce documentaire sera prochainement à l'affiche de l'Espace des Collines à St Donat. Ne le ratez surtout pas 
Un grand merci à Laurent et à l'équipe " Doc" de la MJC pour cette programation !  

lundi 22 février 2016

Syndicalisme


Ce sont pourtant des paysans qui l'ont élu :
 la connerie n'a pas de limites !

mercredi 17 février 2016

La dernière (en date) mini zone de SINE

J’ai décidé de poursuivre BHL !

Tout en sachant que la bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe, j’ai décidé de rentrer dans le lard de BHL, notre philosophe milliardaire aux chemises amidonnées, car j’en ai marre de me laisser sans cesse insulter par cet individu, qui continue, envers et contre tous, à me traiter, partout où il sévit, de raciste et d’antisémite.
J’ai longtemps laissé pisser et m’amusais plutôt de son obsessionnelle « sinéphobie » mais, à l’hosto, j’ai pris un coup de sang, probablement dû à mes nombreuses transfusions, et j’ai demandé à mon avocat de poursuivre ce venimeux pour injure et diffamation bien que la procédure coûte la peau des fesses.
Dans cette société, il faut être riche pour ne pas se laisser cracher dessus !
D’ailleurs, à ce sujet, une anecdote qui vaut son pesant de cacahouètes : après avoir demandé un droit de réponse au journal Le Point dans lequel le rigolo s’était, une fois de plus, répandu sur mon compte, on pouvait relire gratuitement ses insultes (raciste et antisémite) sur leur site, mais pour prendre connaissance de leur mise au point, il fallait payer pour lire la suite de l’article !
Peut-être avez-vous du mal à y croire, mais je vous jure que c’est vrai ! Il est question de rétablir le service militaire pour les djeuns.
Je suis assez pour, sachant que l’année 1949 passée « sous les drapeaux », comme on dit, m’a été très bénéfique. J’y ai appris à haïr, à détester, à avoir des idées de meurtres, qui m’ont bien aidé et qui m’aident encore aujourd’hui dans mon boulot.
Car il n’y avait pas que les sous-officiers de carrière, barjos aux crânes rasés, méchants comme des teignes et sales comme des peignes, qui nous humiliaient dès 5 heures du mat (réveil au clairon) jusqu’à 22 heures (extinction des feux), il y avait aussi de braves pèquenots analphabètes, arrivés « bleubite » comme nous tous, mais qui, avec leurs galons gagnés grâce à leur lèchecuterie, se conduisaient comme des enculés de kapos !
J’ai appris, au cours de cette année d’enfer, à mentir, à ne me respecter ni moi ni les autres, à ne plus me laver.
Le clairon sonne à 5 heures et on doit être dans la cour, en uniforme impeccable et au à garde-à-vous, à six heures, après avoir bu son caoua tiède et putride, fait sa toilette à l’eau froide, chié en vitesse dans un trou immonde et s’être lavé dans un endroit crasseux comme on en propose aux sans-abris !
Difficile d’avoir le cul propre et de ne pas sentir le bouc dans ces conditions ! La seule chose vraiment utile aurait été d’apprendre à manier les armes dans l’espoir, un jour, de flinguer tout ce petit monde dégueulasse, malheureusement, à mon époque, on faisait l’exercice avec des fusils rouillés datant de la guerre 14-18 !
Comme apprentissage du meurtre, on fait mieux ! N’oubliez jamais ça : l’armée est l’école du crime !
Banzaï !


vendredi 5 février 2016

Rando : le refuge de Vassieux

Pas de neige pour cette randonnée que nous devions faire en raquettes mais une copieuse fondue et une nuit au refuge de Vassieux. Mardi sous le soleil et mercredi dans le brouillard.
Au sommet du But de L'Aiglette


La fondue au refuge

Leonard Cohen - Everybody Knows



Paroles et traduction de «Everybody Knows»
 (Tout Le Monde Sait)
Tout le monde sait que les dés sont truqués
Tout le monde les jettent avec leurs doigts croisés
Tout le monde sait que la guerre est terminée
Tout le monde sait que les bons gars ont perdu
Tout le monde sait que le combat était arrangé d'avance
Les pauvres restent pauvres, les riches s'enrichissent
C'est comme ça
Tout le monde le sait
Tout le monde sait que le bateau fuit
Tout le monde sait que le capitaine a menti
Tout le monde a ce sentiment de déchirement
Comme si leur père ou leur chien venait de mourir
Tout le monde parlent à leurs poches
Tout le monde veut une boîte de chocolats
Et une rose à longue tige
Tout le monde le sait
Tout le monde sait que tu m'aimes bébé
Tout le monde sait que tu m'aimes vraiment
Tout le monde sait que tu as été fidèle
Ah, à une ou deux nuits près
Tout le monde sait que tu as été discrète
Mais il y avait tellement de gens que tu devais rencontrer
Sans tes vêtements
Et tout le monde le sait

 [Refrain]
Tout le monde le sait, tout le monde le sait
C'est comme ça
Tout le monde le sait (2x)

Tout le monde sait que c'est maintenant ou jamais
Tout le monde sait que c'est toi ou moi
Et tout le monde sait que tu vis éternellement
Et quand que tu t'es fait une ligne ou deux
Old Black Joe cueille encore du coton
Pour vos rubans et vos foulards
Et tout le monde sait
Et tout le monde sait que la peste arrive
Tout le monde sait que ça bouge rapidement
Tout le monde sait que les hommes et les femmes nues
Sont seulement un artéfact du passé
Tout le monde sait que la scène est morte
Mais il y aura un compteur sur ton lit
Qui révélera
Ce que tout le monde sait
Et tout le monde sait que tu es dans le trouble
Tout le monde sait ce que tu as dû traverser
Depuis la croix sanglante au-dessus du Calvaire
Jusqu'aux plages de Malibu
Jette un dernier coup d'œil au sacré cœur
Avant qu'il n'éclate
Et tout le monde sait



jeudi 4 février 2016

Cinéma : "Béliers"

Un très bon film :  Deux frères éleveurs de moutons en Islande  fâches pour une histoire d'héritage et qui ne se parlent plus depuis 40 ans, si ce n'est pas l'intermédiaire du chien, porteur de message. Une épidémie de tremblante va encore creuser le fossé entre les deux antagonistes. Mais face à l'adversité, ce fossé va se combler peu à peu. Une belle histoire jouée très justement par deux acteurs aux noms imprononçables, tournée dans une nature sauvage, dans cette vallée du nord de l'île que nous avions traversée en 2013.