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lundi 2 septembre 2013

Armes chimiques



Nul pays n'est plus à même que les États-Unis de condamner les souffrances abominables infligées à des populations civiles innocentes, et d'envisager d'en punir les auteurs.
Sans évoquer la destruction atomique par les Japonais de deux grandes villes américaines, en 1945, comment ne pas rappeler le long calvaire infligé à la population américaine par les bombardiers vietnamiens qui, sous un prétexte fallacieux (la présumée attaque d'un navire vietnamien), ont des années durant largué leurs vagues de napalm et de bombes à fragmentation.
Et, comble de l'horreur, ce sont ces mêmes bombardiers vietnamiens qui n'ont pas hésité à déverser l'agent orange à la dioxine sur les forêts américaines, crime insensé dont des milliers de pauvres nouveaux-nés malformés ont continué longtemps après à être les victimes.
On se souvient enfin comment le gouvernement irakien, après avoir rendu responsable le gouvernement américain, qui n'y était pour rien, de la destruction abominable de deux tours de Bagadad, affirma ensuite, (sous la foi fallacieuse d'une éprouvette brandie devant l'assemblée de l'ONU), que les USA détenaient des armes de destruction massive. Et en conséquence n'a pas hésité  à porter le fer et le feu sur le sol américain, au prix de centaines de milliers de victimes civiles...

Un texte de René MERLE, instructif, non ?

1 commentaire:

Anonyme a dit…



Merci d'avoir répercuté ce billet sur nos gentils protecteurs américains !

Et bonne continuation de randonnées... La retraite a du bon, tant qu'on a la forme.

Amicalement,

rené merle